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En Guadeloupe, le taux de chômage se situe à 23 % : malgré la dynamique économique dans les secteurs du tourisme, du transport portuaire, aéroportuaire notamment, les créations d’emplois dans le secteur privé ne suffisent pas.

Depuis quelques mois, l’Iédom Guadeloupe constate une augmentation conséquente de la fréquentation de son service de surendettement, à tel point qu’elle l’a quantifié à 23 personnes reçues par jour.

Le 27 juin dernier est paru au Journal officiel l’arrêté interministériel qui encadre les opérations de repérage de l’amiante dans les bateaux avant travaux.

La directive relative aux installations de réception de déchets des navires dans les ports a été publiée au Journal officiel de l’Union européenne.

Le Conseil régional de Guadeloupe n’a pas tardé à agir : il a de suite lancé son projet de bus des mers permettant de relier les habitants de Grande-Terre et Basse-Terre.

La Caisse des Dépôts et Consignations vient d’émettre ses premières obligations durables pour un montant de 500 M€.

En 2018, Norwegian a attaqué en même temps quatre territoires des Etats-Unis avec quatre vols par jour, vers deux îles, la Martinique et la Guadeloupe, soit 32 rotations, à 149€ le tronçon, un tarif très bas qui rendait le point mort difficile à atteindre.

Pour la Guadeloupe, ce sont 2600 entreprises en moins et 460 000€ de manque à gagner dans le budget, soit une perte de 26,68%.

Entre 2018 et 2019, la situation des impayés s’est dégradée dans le secteur de l’eau. Le pourcentage est passé de 38 % en 2018 à 49 % en 2019.

La Cour de cassation vint de juger pour la première fois qu’un accord collectif conclu en application d’un dispositif légal abrogé n’est pas forcément caduc.

Dès le rachat en 1987 de la distillerie Clément, le groupe Bernard Hayot a eu l’intuition du potentiel des visites sur site et a créé un poste dédié au tourisme.

Cela fait 20 ans que l’Europe et le Mercosur négocient.

Avec Galion 2, Albioma inaugure un modèle de centrale bagasse/biomasse à dupliquer dans le monde.

Le gouvernement cherche à ne plus soumettre les documents d’urbanisme aux contraintes environnementales, notamment ceux concernant la planification.

Le gouvernement dominiquais se déclare prêt à travailler pour la mise en place d’un cadre institutionnel favorable aux échanges de marchandises.