Le navire Ro-Ro de Marfret peut encore intensifier ses rotations.

Transformer l’organisation de la manutention est le sujet qui fâche

Ludovic Jover est le chef de lignes. Fréderic Reignier est le responsable commercial Martinique et Guadeloupe.

Pour que le Marché unique antillais passe du rêve à la réalité, plusieurs verrous doivent sauter, à l’instar des droits de port en ce qui concerne le transport routier des marchandises entre la Guadeloupe et la Martinique. Voilà ce qui coince.

Raymond Vidil, Pdg du groupe Marfret, pourrait être un armateur heureux… si le marché antillo-guyanais prenait son véritable essor ! A l’occasion des trente-cinq ans de la compagnie, il a prêché auprès des opérateurs de Guadeloupe et de Guyane cette nécessaire vision globale. Rencontre.

“Nous avons signé quelque chose qui a beaucoup à voir avec la politique, mais je ne suis pas certain qu’en période de crise, un tel système puisse perdurer », a déclaré en aparté un représentant patronal guadeloupéen