C’est ce mercredi 26 juin que les deux affaires contre Inter-Entreprises initiées par la société Madivial pour diffamation sont jugées au tribunal de Fort-de-France. Deux affaires abusives, destinées à nuire et faire taire à l’unique magazine économique des Antilles-Guyane.

La Coopérative des éleveurs bovins de la Martinique (Codem) vient de signer une charte nommée Envi Péyi, avec les hypermarchés du groupe Bernard Hayot.

En janvier 2015, la Coopérative de production de lait de la Martinique, Cooprolam, a accepté de rejoindre l’Union des coopératives Madivial après cinq années de résistance. Une fusion pour le meilleur car les subventions dues arrivent enfin. Mais aussi pour le pire : l’accompagnement technique est inexistant et le danger sanitaire est réel pour le grand public. Dans un silence assourdissant des pouvoirs publics.

Cette jeune société de production de plats cuisinés est devenue le premier client de Madiavial, devant Comia.

Le blog de Francette Rosamont

Les malversations et les contorsions comptables de Madivial et les bagarres à la tête de l’AMIV sont mis à jour par le président du Conseil exécutif de la Collectivité de Martinique. Il déclare qu’il ne mettra pas un euro dans la filière animale tant que le ménage ne sera pas fait !

Les coopératives animales de la Martinique et l’AMIV, l’interprofession viande, sont sur la voie pour retrouver un fonctionnement normal… mais à quel prix !

Les délégués du personnel de Martinique Nutrition Animale (MNA) écrivent au Préfet de la Martinique.

Une délégation constituée de représentants du syndicat des bouchers, de la Codem, de Cooprolam et de salariés de Martinique Nutrition Animale ont rencontré la semaine dernière la Direction de l’Alimentation, de l’Agriculture et de la Forêt (DAAF)  pour lui remettre une plate-forme de revendications en treize points. Leur objectif, selon eux, est de conforter l’intention […]

Réunion d’urgence à la Direction de l’alimentation, de l’agriculture et de la forêt en Martinique. La fusion-absorption des structures est en cours pour équilibrer les comptes.

Pour le président de l’interprofession fruits et légumes de la Guadeloupe, seules une vision interrégionale et une mutualisation des moyens d’achat, de production et de distribution pourront garantir un revenu décent aux agriculteurs.