Van Air Europe, Jet Airways et Guyane Fly forment le consortium qui a été retenu par la collectivité territoriale de Guyane pour sa délégation de service public (DSP) d’urgence destinée à effectuer des rotations vers les communes de l’intérieur de la Guyane pendant les sept prochains mois à compter du 4 décembre.

Le tribunal de commerce a tranché : ce sera Cipim pour les Antilles et liquidation pour la Guyane. La casse sociale et économique est certaine.

L’Organisation de l’aviation civile internationale donne sa feuille de route pour la décarbonation du secteur.

Les plates-formes aéroportuaires de Guadeloupe et de Martinique subissent la crise !

Le ministère des Affaires étrangères a débuté des négociations avec les instances cubaines pour augmenter les capacités aériennes entre la France et Cuba. Insuffisantes au regard de la croissance envisagée vers ce pays, les capacités transatlantiques sont quasi-totalement opérées par Air France. Le trafic régional Caraïbe n’est pour l’heure pas concerné par ces négociations au […]

Le groupe ne veut plus perdre d’argent sur le trafic régional Antilles et lance sa compagnie low-cost long courrier sur des routes à fort bassin touristique.

Antoine Huet : “Notre expérience nous a prouvé qu’il existe une demande pour un produit low-cost, mais aussi pour un produit correct à un prix raisonnable »

L’aéroport Martinique Aimé-Césaire prépare son extension. Les travaux devraient s’achever en 2020.

Pour la première fois, pendant ces grandes vacances, toutes les compagnies aériennes desservant les Antilles françaises, sans exception, ont fait des promotions. Le business devient de plus en plus difficile, certains pensent au low cost, mais impossible de faire voyager les Antillo-Guyanais dans des « bétaillères » comme à une certaine époque ! Comment se différencier dans cet univers impitoyable sans y laisser des plumes ? Les recettes des faiseurs de la place.

En juillet 2013, l’aéroport de la Martinique a changé de statut, passant d’un régime semi-public de concession à une société privée avec des actionnaires souhaitant une rémunération à hauteur de 40%. Un changement de culture financière et de vision : l’aéroport se positionne désormais comme un outil au service du développement économique.

Guadeloupe Pôle Caraïbes prépare sa transformation en société aéroportuaire qui devrait intervenir en juin prochain. Elle s’accompagnera aussi d’une mutation technique et commerciale. Aidée par la Chambre de commerce de Nice, la première chambre française à avoir vécu la fin de la concession aéroportuaire, l’idée est de ne pas commettre les mêmes erreurs et de se développer plus intensément sur le régional et le transatlantique.

Après Martinique Aimé Césaire, Guadeloupe Pôle Caraïbes se prépare