La ville de Sainte-Anne, en Guadeloupe, a signé une convention avec l’Agence française de développement pour un montant de 1,5M€.

L’Agence française pour la biodiversité (AFB), l’Agence française de développement (AFD) et la Commission européenne viennent de lancer un nouvel appel à projets pour protéger la biodiversité ultramarine.

Bpifrance est devenue une “banque publique de plein exercice” aux Antilles-Guyane depuis le 1er janvier 2019. Sa première agence ouvrira le 1er avril.

C’est la première fois qu’un parc de cette nature s’installe sur la Basse-Terre, les autres éoliennes en activité étant sur Grande-Terre.

Maintien de la dotation de bonification des prêts accordés par l’AFD aux collectivités pour financer leurs projets structurants.

La commune de Sainte-Anne, en Guadeloupe est accompagnée par l’Agence française de développement pour rééquilibrer ses comptes.

Pour mieux aider les territoires d’outre-mer à s’inscrire dans leur zone géographique, l’AFD réorganise ses services en Trois océans.

En 2017, l’AFD a investi 92 M€ en Guyane, 336 M€ en Guadeloupe, à Saint-Martin et à Saint-Barthélemy et 358 M€ en Martinique.

Pour contribuer à l’assainissement des finances publiques dans les collectivités d’outre-mer, l’AFD a mis en place un dispositif d’aide qui se décline en deux volets.

L’AFD s’attache à améliorer les infrastructures économiques et sociales par l’accompagnement des projets de réhabilitation.

Pour financer les travaux sur les réseaux d’eau en Guadeloupe, l’Agence française de développement (AFD) vient de rappeler la condition expresse : que l’eau paye l’eau.

Expertise France veut aider à l’émergence d’acteurs capables de répondre aux appels d’offres importants dans la zone.

L’AFD attend des acteurs locaux une démarche responsable. Pour Bertrand Willocquet, le nouveau directeur Outre-mer de l’AFD, les projets de développement doivent encore plus prendre en compte le changement climatique.

La complexité de la gestion de l’eau en Guadeloupe crée le désordre. Cinq autorités organisatrices, de nombreux opérateurs privés comme publics : la gestion de l’eau en Guadeloupe coûte cher. L’Etat a repris la main.

Leur présence massive, leur sens de l’organisation et leur expertise ont permis que le mouvement n’implose pas.