Vision

Parce qu’un mix énergétique équilibré et maîtrisé est un enjeu majeur pour les Antilles-Guyane, les acteurs du secteur ont ébauché une feuille de route.

Parce que les solutions sont connues, voici les premières actions à mener pour régler les problématiques soulevées par l’octroi de mer.

Parce que la problématique foncière touche toutes les couches de la société aux Antilles-Guyane, rebattre les cartes est nécessaire.

Les outre-mer ont une véritable carte à jouer dans les domaines de la connectivité et l’informatique. Voici des pistes.

Centrale pour des territoires insulaires, la gestion des risques doit elle aussi être repensée en outre-mer.

Santé, conditions de travail, santé mentale ou encore lutte contre les inégalités, les sujets ne manquent pas et les solutions non plus pour améliorer le bien-être social des antillos-guyanais.

Qu’il s’agisse de mettre en place une meilleure synergie entre le monde politique et les acteurs économiques, ou bien adapter les outils de financement aux réalités de l’outre-mer, les améliorations sont à portée de main.

A l’échelle régionale et interrégionale, rompre avec les modes de fonctionnements ayant déjà prouvés leur limite voire, leur inefficacité, ou simplement rendre réelles des initiatives telles que l’URAG créeraient une nouvelle dynamique salutaire.

Rationaliser l’utilisation de l’eau selon les secteurs d’activité et via le Plan Eau, créer une task force climat ou encore penser la gestion et le traitement des déchets à l’échelle interrégionale, les solutions ne manquent pas pour répondre aux différentes problématiques environnementales de nos territoires.

Pour les acteurs du monde économique antillos-guyanais, ces idées sont une étape indispensable pour que l’Union Européenne ne soit plus une lointaine instance, mais une véritable alliée du développement.

Dans cette première série d’idées, ont été regroupées celles qui visent à plus de cohérence et d’intégrité au service du plus grand nombre : Comprendre que chaque acte ou non-acte a un impact sur la vie de la population.

Le changement climatique rebat les cartes et change ce qui sera indispensable ou pas. Aucune organisation ne pourra s’extraire de cette marche en avant vers le changement.

Fini les tensions vives entre les communautés portuaires de Guadeloupe et de Martinique. Reste à parachever la fluidité ce marché unique construit sur le modèle européen. Les harmonisations des taux des octrois de mer, de la manutention et des horaires sont les pas indispensables.

De conférence en conférence, les avancées sont si ténues que la question de la réelle volonté de la France en la matière se pose. Le trafic de drogue et la cybersécurité réveillent des conférences de coopération régionale un peu endormies.

En s’appuyant sur des dysfonctionnements bien réels, l’Etat se verrait gérer les octrois de mer et reverser des dotations.