Actualités

L’Urssaf vient de confirmer que dans le cas d’un temps partiel thérapeutique, la déclaration des salaires est obligatoire pour permettre le versement des indemnités journalières (DSIJ).

Le Conseil d’Etat vient de juger que l’action intentée par un syndicat pour obtenir la réattribution de titres-restaurant aux télétravailleurs, au nom du principe d’égalité de traitement, est irrecevable.

Le centre hospitalier universitaire (CHU) de Guadeloupe entre en fonctionnement.

Une récente ordonnance de contrôle de l’immigration vient d’être étendue à Saint-Martin et Saint-Barthélemy.

Par la loi, le gouvernement veut faire baisser les prix. Reste à attendre tous les décrets d’application.

Pour l’université du Maryland, en 2024, ce sont 6,73 millions d’hectares de forêts tropicales primaires qui sont partis en fumée.

Le ministère de l’Économie a dévoilé le bilan 2024 de l’activité de la lutte contre le blanchiment et financement du terrorisme (LCB-FT).

Un projet de loi va réformer le régime des nullités en droit des sociétés.

Les centres de stockage de données informatiques sont de gros émetteurs de gaz à effet de serre.

La déchetterie de Petit-Pérou, aux Abymes, en Guadeloupe est en train d’être réhabilitée.

La préfecture de Guadeloupe a réalisé une étude sur les festivals et leurs retombées.

La Chambre de Métiers et de l’Artisanat de Martinique propose une mallette pédagogique accompagnée d’ateliers culinaires participatifs, à destination des scolaires (écoles primaires, collèges, lycées) et des personnes en situation de précarité.

Certaines banques des Antilles et de la Guyane appliquent les critères ESG (environnementaux, social et de gouvernance) : un grand énergéticien local vient de se voir refuser un prêt au motif que son activité et l’investissement envisagé n’entraient plus dans les critères ESG définis par la banque.

La Maison du Bèlè, implantée au quartier Reculée, sur la commune de Sainte-Marie, en Martinique, sera reconstruite et réouvrira en 2028 avec le label Scène nationale.

Trente-deux produits de cosmétiques (eaux de toilettes et parfums) ont été retiré de la vente en Guyane à cause de la présence de trois substances toxiques.