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“L’activité offset que nous avons depuis vingt ans est en recession. C’est pour cette raison que Roger de Jaham, notre gérant, recherchait une activité nouvelle : nous l’avons trouvée avec les étiquettes sur film”, explique Jorge Duarte, directeur de Flexoprint. Créé en avril 2005, Flexoprint a débuté son activité en décembre. “Les écarts de prix entre les étiquettes papier et celles en polypropylène se réduisent considérablement et les films synthétiques sont plus adaptés aux conditions d’humidité locales : les embouteilleurs locaux importent jusqu’à présent leurs films d’étiquettes de Barbade, de Trinidad ou de métropole. Nous fabriquons désormais localement”, poursuit le directeur. Conséquence immédiate : les films d’étiquettes importés par les embouteilleurs ne seront plus exonérés de l’octroi de mer. Arti, spécialiste de la sérigraphie, a également mené la même réflexion stratégique au même moment : la Martinique possède désormais deux lignes d’impression en flexographie.

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Cette fois, la CCI ne veut pas se tromper sur les dimensions.

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Cette fois, la CCI ne veut pas se tromper sur les dimensions.

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Un vote prochain devrait permettre aux DOM d’en bénéficier en cas de catastrophe.

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L’Association des maires de la Guadeloupe proposera prochainement au gouvernement l’instauration de la taxe professionnelle unique dans le département, après avoir soufflé l’idée à Nicolas Sarkozy.

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Cette entreprise familiale veut gagner des parts de marché

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La programmation 2000-2006 s’achève, mais la prochaine se prépare…

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Fort du succès de ses implantations, Lina’s Guadeloupe veut être un traiteur à part entière.

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Le port autonome de Guadeloupe se dote d’un plan directeur renouvelé baptisé Cap 2015.

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En rachetant Bouygues Telecom Caraïbe, Digicel poursuit sa stratégie d’opérateur global caribéen.

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L’administration a précisé les modalités.

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Tréfilière et Armatures de Guyane veut se substituer à l’import.

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La défiscalisation n’a pas fait que des heureux…

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Proxi’Nord, une expérimentation à développer.

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En 2005, l’Agence Française de Développement (AFD) a alloué 8 Me dans le cadre du Fonds DOM pour la garantie de prêts aux entreprises guyanaises. Soit deux fois plus qu’en 2004. Les banques de la place semblent avoir compris le dispositif et y ont plus souvent recours. Cet outil financier leur permet de proposer un plus grand nombre de crédits aux entreprises, notamment parce qu’il permet une répartition des garanties.
La fourchette des prêts bénéficiant de Fonds DOM en Guyane a oscillé en 2005 de 250 000 € à 400 000€ contre 50 000€ à 100 000 € dans les autres DOM. «Nous n’expliquons pas ce phénomène»,reconnaît Jean-François Cornu, représentant de l’AFD Guyane. Les bénéficiaires ont été principalement les commerces et les services : «Nous suivons la production des banques qui sont très actives sur ces secteurs. Nous leur rappelons cependant que les Fonds DOM peuvent être mis en place sur des secteurs plus sensibles comme l’agriculture.»