Repris en 2023, le chantier naval de la Martinique peut traiter jusqu’à 30 bateaux par an. Il atteindra son rythme de croisière d’ici deux ans.
Abonnez-vous : 15€ / mois pour consulter tout le contenu exclusif d'interentreprises.com
S'abonnerAbonnez-vous : 15€ / mois pour consulter tout le contenu exclusif d'interentreprises.com
S'abonnerAbonnez-vous : 15€ / mois pour consulter tout le contenu exclusif d'interentreprises.com
S'abonnerAbonnez-vous : 15€ / mois pour consulter tout le contenu exclusif d'interentreprises.com
S'abonnerAbonnez-vous : 15€ / mois pour consulter tout le contenu exclusif d'interentreprises.com
S'abonnerAbonnez-vous : 15€ / mois pour consulter tout le contenu exclusif d'interentreprises.com
S'abonnerAbonnez-vous : 15€ / mois pour consulter tout le contenu exclusif d'interentreprises.com
S'abonnerAbonnez-vous : 15€ / mois pour consulter tout le contenu exclusif d'interentreprises.com
S'abonnerAbonnez-vous : 15€ / mois pour consulter tout le contenu exclusif d'interentreprises.com
S'abonnerAbonnez-vous : 15€ / mois pour consulter tout le contenu exclusif d'interentreprises.com
S'abonnerAbonnez-vous : 15€ / mois pour consulter tout le contenu exclusif d'interentreprises.com
S'abonnerAbonnez-vous : 15€ / mois pour consulter tout le contenu exclusif d'interentreprises.com
S'abonnerAbonnez-vous : 15€ / mois pour consulter tout le contenu exclusif d'interentreprises.com
S'abonnerAbonnez-vous : 15€ / mois pour consulter tout le contenu exclusif d'interentreprises.com
S'abonnerAbonnez-vous : 15€ / mois pour consulter tout le contenu exclusif d'interentreprises.com
S'abonnerRepris en 2023, le chantier naval de la Martinique peut traiter jusqu’à 30 bateaux par an. Il atteindra son rythme de croisière d’ici deux ans.
Les appels d’offres ne trouvent pas preneurs et les difficultés de raccordement sont réelles. Une commission se penche enfin sur le sujet.
Pour le président de l’Iédom, les temps qui viennent seront difficiles. La conjoncture ne va pas amener de soutien à l’activité à court terme.
Depuis neuf mois, la Guadeloupe et la Martinique sont accessibles à la 5G. Reste aux opérateurs à déployer la technologie. Seuls 15% des clients des Antilles et de la Guyane utilisent la 5G, soit l’équivalent de 10% du trafic.
Face à la crise sanitaire les Antilles Guyane doivent se réinventer. Les boussoles possibles.
Pour Pierre-Yves Chicot, dans les pays français d’Amérique, le culte de la mort inspire des perspectives bien peu enchanteresses. Dans les pays français d’Amérique écartelés entre une irrésistible envie de conserver le sacré comme valeur et l’adhésion aux normes, us et coutumes du capitalisme, les temps sont durs.
Les premiers bois d’œuvre issus de la forêt immergée du barrage de Petit-Saut en Guyane devraient faire baisser les prix de la construction. Avec Triton Guyane, le territoire sera doté d’une unité de production de bois tournée vers l’exportation.
Pour le président de l’Iédom, les temps qui viennent seront difficiles. La conjoncture ne va pas amener de soutien à l’activité à court terme.
Repris en 2023, le chantier naval de la Martinique peut traiter jusqu’à 30 bateaux par an. Il atteindra son rythme de croisière d’ici deux ans.
Marie-Luce Penchard nous confie ses impressions après sa réélection à la présidence du conseil de surveillance du grand port maritime de Guadeloupe.
Ce texte central de l’État français est, dans son essence même, porteur d’inégalités.