Ils s’apprêtent à couvrir ces territoires de bornes de recharge rapide d’ici à la fin de l’année.

Pour le directeur des agences d’Inter Invest, la loi de finances pour 2024 a ôté des ressources pour financer l’activité économique outre-mer. Et ce n’est peut-être pas fini.

Pour le président de la Fédération des entreprises des Dom (Fedom), avec les évaluations de la Lodéom, de la défiscalisation et de l’octroi de mer, aucun temps ne devrait être perdu.

Le cabinet d’ingénierie Diagnostic audit conseil (DAC) Antilles est en train de mener trois projets d’installation de centrales photovoltaïques en autoconsommation collective pour des logements en Guadeloupe.

Pour le directeur de Cyclévia, les huiles usagées et leurs contenants doivent être traités de concert, surtout en outre-mer.

Guadeloupe Mobilité (GMOB) a enfin obtenu le feu vert de l’Autorité de la concurrence pour déployer son réseau de bornes de recharge électrique en Guadeloupe, puis en Martinique et en Guyane.

L’inspection générale des finances veut arrêter la défiscalisation sur les chauffe-eau solaires installés chez les particuliers outre-mer.

Sans discussion et en catimini, le gouvernement supprime 160 M€ d’aides outre-mer.

Alors que la dynamique est enclenchée sur le continent, les projets sont quasi à l’arrêt outre-mer. La législation y est pour quelque chose.

Les entreprises des Antilles et de la Guyane sont face à des dérapages de coûts qui les obligent à questionner leurs modèles.

Le réchauffement climatique exige d’aller plus vite dans la transition énergétique et d’embarquer tout le monde.

Pour demeurer dans la course, les producteurs des DOM ont des problèmes à résoudre.

Le tribunal administratif de Cayenne en Guyane a annulé l’autorisation environnementale accordée à EDF pour la construction de la future centrale électrique du Larivot.

Les progressions des ventes sont significatives, mais les freins sont encore là, dont le prix et le réseau public de bornes. Le marché est devant deux années de forte croissance, l’occasion se développe et l’essence décroît.

L’État investit 6 Md€ pour accompagner le développement des énergies renouvelables.